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Vieux loup de mer que vous êtes, vous n'avez jamais connu que le ''vieil océan'' et ''l'appel du large''. Vous n'êtes pas né du dernier tsunami et vous avez bourlingué sur toutes les mers et dans tous les golfes de ce vaste monde !
Lorsque les jeunots vous demandent comment vous arrivez à supporter ainsi cette vie solitaire et à dompter cet océan qui abrite mille malheurs, vous leur répondez que vous avez passé tant de temps à boucaner qu'il vous est désormais possible de savoir comment se portent les poissons de chaque récif, quelle baie exactement sera assez sûre pour retrouver le butin dans dix ans et quand il est nécessaire de se débarrasser d'un supérieur qui pourrait inspirer une mutinerie par ses excès d'autorité.
Vous êtes plus intelligent que bien des marins, et vous connaissez les légendes de ce globe : le ''léviathan'' ne vous fait plus frémir, le ''Hollandais Volant'' et ses rangées de canons n'a jamais rien eu dans le ventre, pas même cette fameuse pitance explosive qui aurait coulé plus d'une frégate, et les ''sirènes'' n'ont chanté à vos oreilles que lors de vos escales dans les ports, quand les éclats de vos pièces d'or fascinaient les filles de joie qui n'avaient été payées jusque là qu'en babioles.
Un jour, alors que vous voguez sur votre rafiot, un homme de petite taille et de stature ridicule apparaît sur votre pont et dit s'appeller ''Lord Farquaad''^^Sa majesté diminuée^^. Quel accueil lui donnez-vous ?
[[D'où sortez-vous donc, nain diabolique ! Et qu'est-ce donc que ces haillons de saltimbanque dont vous vous parez !->Le nain ne va pas vous aimer]]
[[Bien le bonjour, très cher ami atteint de nanisme ! Quelle est la raison de votre visite sur ma modeste embarcation ? Seriez-vous un garde-côte ?->Le nain ne va pas vous faire du bien]]"Mais vous êtes un grand malade !" rugit le Lord, dont le nanisme rivalise avec son timbre de voix qu'il a très imposant. "Je vais vous faire interner, sale babouin des îles ... Des îles ... Des îles Babouin, tenez !"
Vous connaissez toutes les îles et les presqu'îles de ces océans par coeur, et jamais ces fameuses ''îles Babouin'' n'ont attiré votre attention sur un planisphère ou une mappemonde. Se pourrait-il qu'elles n'aient jamais existé ? Toujours est-il que Lord Farquaad, vexé par votre attitude empreinte d'un fort dédain, vous pose un doigt sous le menton et vous téléporte de ce fait dans le ''Bar des Loosers''.
C'est une nouvelle vie qui commence pour vous, le veau marin, dans cet établissement où votre identité ne fera pas ciller un seul habitué ! Êtes-vous seulement encore dans votre monde ? Dans sa téléportation vengeresse, ce petit étranger grimaçant vous aurait-il expédié en terres inconnues ?
[[Demander au barman où vous êtes et un breuvage au passage->Boissons]]
[[Sortir du bar et vous repérer par rapport aux étoiles->Sortir]]
[[Tourner trois fois sur vous-même et gémir tel un bigorneau d'eau douce->Bigorneau]]"Je ne suis pas un garde-côte, mais un ambassadeur du ''pays où les gens puent des pieds''. La particularité de ce pays est qu'il est habité exclusivement de citoyens qui puent tous des petons ! C'est comme une malédiction, un mauvais gène qui se transmet de génération en génération ou bien même une ''hygiène commune déplorable''. J'ai besoin de votre aide ! Vous devez m'aider à parfumer leurs pieds et rendre à ce pays sa senteur d'antan ! Acceptez-vous la ''mission'' ? Il y aura une belle ''récompense'' à la clé !"
Seriez-vous prêt à quitter vos longues bandes de sable chaud, vos dauphins rieurs, vos barrières de corail chatoyantes et vos aventures de pirate à la retraite pour vous entourer de croûtes de pieds et de verrues odorantes ? Le choix vous appartient (et moi, le narrateur, ne vous incite pas du tout à n'aller sous aucun putain de prétexte dans ce pays).
[[Ah ben ouais, carrément, je vais à Pieds-qui-puent-land !->Sacrifice]]
[[Je crois pas que je vais y aller en fait.->Non]]Le barman, un ''oeil immense et omniscient en costard'' (il doit sans doute flotter et porter cet habit tout de même pour donner à ses clients la sensation qu'il retient quelque chose d'humain), est un être superstitieux, qui pense que l'univers est régi par des ''lois implacables'' et écrites par les actes des mortels des millénaires à l'avance. Selon lui, chacune de vos actions a été préalablement ''déterminée'' par une force supérieure à vous et ce libre-arbitre dont vous disposez ne serait qu'une chimère, une goutte de sueur sur un front bientôt épongé par son propriétaire.
L'oeil n'a aucune bouche et vous fait comprendre tout cela sans vous parler. Il vous fait également comprendre qu'avant de poser des questions, il serait bon que vous lui commandiez quelque chose à boire. Pour quel ''breuvage'' allez-vous opter ?
[[Quelque chose qui tape, un alcool très fort !->alcool]]
[[Un sirop, une grenadine, j'en sais rien, je suis pas venu boire mais poser des questions là->sirop]]
[[Un jus d'orange pour se requinquer et tenir éloigné le scorbut !->orange]]
[[Ce flacon bizarre là-bas->flacon]]
[[Menacer le barman de mort s'il ne vous donne pas tout de suite des réponses->Menaces]]Une fois sorti de ce bar à l'ambiance plus qu'étrange avec ces grands êtres bariolés qui jouent à des jeux de hasard que vous ne comprenez pas et ces petits lutins aveugles avec des strap-ons qui courent dans tous les sens, vous constatez que vous n'êtes effectivement plus sur votre sphère natale lorsque vous levez les yeux vers le ciel et qu'en lieu et place d'étoiles, vous admirez ce plafond de ''bouches cosmiques'' qui se mordillent les lèvres et sucent avec avidité les couches d'ozone de nombreuses planètes comme s'il se fut agi de milshakes à la framboise.
Ces bouches géantes aux langues de vipère vous inspirent une peur monolithique, venue du plus ancien des âges, et vous imaginez un instant qu'elles puissent aspirer à cette distance votre verge et faire de vous un regrettable ''eunuque'' ! Puisque vous tenez à vos précieuses testicules, vous décidez de remettre une quelconque exploration spatiale à un autre jour, pour le moment, vous vous contentez d'apprécier l'existence de ces bizarreries de très loin.
Vous vous êtes fait une vue d'ensemble de ce monde encore inexploré, comment allez-vous poursuivre cette découverte ?
[[Demander au barman où vous êtes et un breuvage au passage->Boissons]]
[[Tourner trois fois sur vous-même et gémir tel un bigorneau d'eau douce->Bigorneau]]
Vous pensez sans doute cette réaction extrêmement amusante et invraisemblable, n'est-il pas vrai ? Vous avez cru un instant que le monde vous pardonnerait cette excentricité passagère et que le narrateur, ému par votre humour fin, vous épargnerait dans sa magnanime compréhension ! ''Que nenni'' ! Voici ce qui arrive quand on imite un bigorneau : on est jeté au ''cachot'' ! S'ensuivent trois longues années de ''séquestration'', vous êtes battu à mort, fouetté, vos fluides sont tirés hors de votre organisme, ils coupent votre épiderme en lamelles, arrachent vos ongles à la tenaille, vous écartèlent avec leurs instruments de torture médiévaux, vous arrachent des cris de souffrance et jouissance, vous font perdre abondamment votre sang, suppriment toute humanité et dignité dans votre âme, font de votre corps-même une injuste prison, vous privent de nourriture et vous gavent d'eau fangeuse, vous réveillent dès que vous osez fermer une paupière ...
Finalement, vos bourreaux ont raison de vous, et vos chairs sont recyclées dans les ''cuisines du pénitentier voisin'' tandis que vos ossements sont envoyés à l'usine où ils seront convertis en un fabuleux ''engrais naturel'' ! Dois-je vous préciser que ...
VOUS ÊTES MORT.Des spectateurs curieux vous regardent alors que vous dansez tel un concombre de mer en rut sur la terrasse, ils s'inquiètent pour vous mais n'osent pas interrompre cette danse nuptiale d'un genre nouveau. Cet alcool extraterrestre vous a transcendé, vos chakras intérieurs se sont ouvert et il ne subsiste plus aucune barrière entre votre enveloppe physique et vos limites mentales, corps et esprit ne font plus qu'un ! Vous êtes devenu ce que l'on appelle ... Un fantôme. Un ''fantôme bourré qui danse la samba''.
Le barman et deux autres loubards vous fichent dehors, votre danse, en plus de causer la panique chez les clients, attirent les ''concombrettes de mer'' sur des kilomètres à la ronde et le bar ne possède pas de licence en ce qui concerne les reproductions d'espèces marines de concombres. Vous déambulez le long d'un rivage aux grèves d'argent avec votre adresse habituelle, votre salive finit par bloquer votre ouïe et vous vous écroulez, véritablement abattu par l'alcool que vous avez commandé.
Qui étiez-vous déjà ? Un marin ? Non ... Un ''pélican'' ... ? Peut-être que si vous étendez vos ailes vers votre gauche et vers votre droite, vous pourrez prendre votre ''envol gracieux'' ?
[[Battre des ailes, il est temps de quitter le nid !->Voler]]
[[Perdre toute notion de temps et d'espace->Abandon]]Vous commandez un sirop ! Quel sage homme vous êtes ! Grand bien vous en fasse ! Ce sirop était ''magique'' et augmente de manière permanente votre endurance : vous pouvez dorénavant ''sauter deux fois plus haut'' et ''courir trois fois plus vite'' ! N'est-ce pas tout bonnement merveilleux ?
A présent, vous devez tirer les vers du nez à ce barman énigmatique ! Cependant, choisissez bien vos questions, si vous ne voulez pas finir dévoré en une embrassade terrifiante avec ce monstre à l'humeur visqueuse ...
[[Où suis-je très précisément ?->lieudu]]
[[Qui êtes-vous ?->qui]]
[[Comment je retourne chez moi ?->retourner]]
[[Votre mocheté c'est héréditaire ou bien vous êtes le seul gros dégueulasse de votre fratrie ?->moche]]Le jus d'orange résonne en vous tel un cantique de bien-être et de vitalité, vous êtes impacté par le statut ''En pleine forme'' ! Lavé de toute fatigue, il ne faut pas pour autant vous laisser engourdir : avancez-vous donc vers ce barman énigmatique et faites usage de vos lèvres supérieures et inférieures ainsi que de vos cordes vocales et de tout autre instrument se situant entre la trachée et la sortie de votre bouche pour lui demander tout ce qui vous tracasse tant ! Son air impassible tombera sans doute, et il vous révélera alors tout sur ce trou d'ivrognes suprêmes et de dépravation inutile !
[[Où suis-je très précisément ?->lieudu]]
[[Qui êtes-vous ?->qui]]
[[Comment je retourne chez moi ?->retourner]]
[[Votre mocheté c'est héréditaire ou bien vous êtes le seul gros dégueulasse de votre fratrie ?->moche]]Quelle bêtise vous eussiez commis ! Impudent ! Ce flacon contenait un ''démon en bouteille'' ! Vous êtes désormais la marionnette de ce rustre démoniaque qui compte bien ne jamais vous redonner le contrôle de votre corps ! Si vous aviez fait preuve d'un peu plus de prudence, vous ne seriez pas son pantin à ce jour !
Mais voilà, le mal est fait, et vous êtes à présent cette misérable ''incarnation du Mal'' qui conserve sa pâleur en évitant le moindre rayon de soleil et ne ferme jamais les paupières parce que vous n'éprouvez plus aucune fatigue, plus aucun besoin physique.
Alors que le soleil se couche à l'horizon, vous vous asseyez sur votre promontoire, par-delà le funeste ''manoir d'architecture gothique'' que vous avez repris à prix d'ami à un autre démon, et vous songez aux horreurs que vous pourriez commettre durant cette nuit. Quelles cruelles idées pourraient donc bien faire sourire cette gueule d'ange dans un corps de démon et hérisser vos griffes et crocs ?
[[Dévorer de petits enfants dans le village voisin ! Mouahahah !->enfants]]
[[Toquer aux portes des gens avec insistance puis s'en aller avant qu'ils n'aient le temps de vous attraper !->toquer]]Le barman n'apprécie pas du tout votre ton agressif et vous demande à plusieurs reprises de vous calmer, mais vous êtes juste trop impatient et têtu pour l'écouter et il en conclut que vous êtes un danger pour son établissement et ses clients.
D'un regard noir, il vous foudroie sur place puis disperse vos cendres d'un geste de la main ! Cela vous apprendra à jouer au malin avec une entité millénaire cousine des ''Tyrannoeils'' ! Dans ces circonstances, il va vous être difficile de présenter vos excuses puisque vous n'êtes plus qu'un nuage de cendres emporté par le vent, et une ''résurrection'' semble assez peu probable. Votre ultime choix consiste donc à déterminer à quel endroit votre course s'arrêtera.
[[Dans le verre d'un client->verre]]
[[En face de la terrasse du bar->arbre]]L'on vous retrouve deux mois plus tard, la ''fièvre'' au visage, votre tête comme couronnée par ces ''pieds purulents'' qui massent vos joues et imprègnent votre peau de porcelaine de toutes les bactéries qu'ils portent sur eux. Vous étiez libre et vous êtes venu vous échouer dans un taudis pareil, votre destin ne tenait qu'à vous !
Vous êtes donc à l'article de la mort et je crains que cette aventure ne s'arrête ici pour vous. Toutefois, vous me semblez sympathique, et je vais donc vous offrir un dernier choix, très cher humain : quel sera votre ''épitaphe'' ?
[[La confusion ... Sera mon épitaphe ...->confusion]]
[[J'ai aimé l'humanité, j'en fus le père, les pieds me tuèrent : la vie ne serait donc pas un passage piéton ?->passagepieton]]Votre interlocuteur royal ne digère pas bien ce refus et décide de vous punir pour votre acte de haute trahison diplomatique !
"Koumbaïli, koumbaïla, une boîte aux lettres tu seras !"
Vous devenez ainsi une ''boîte aux lettres'' vendue dans un bazar à un jeune homme qui vous installe devant sa petite maison de campagne, tout cela sans que vous ne puissiez donner votre avis sur le sujet, bien évidemment.
Temps de votre châtiment restant : ''120 jours''.
Premier jour de courrier : Vous recevez deux lettres. La première provient du gouvernement et avertit chaque citoyen de la fuite d'un dangereux ''malade mental'' de l'''Asile des Ptits Foufous''. La deuxième est une invitation du club d'hôtesses sexy ''"Le Nuage Rose"''. Quelle lettre allez-vous manger et quelle lettre allez-vous donner à votre maître ?
[[Je mange la première lettre et je lui donne la seconde->lettrepute]]
[[Je mange la seconde lettre et je lui donne la première->lettregouv]]Fichtre, c'était bien cela ! Vous étendez vos ailes de part et d'autre et vous vous libérez de cette prison terrestre ! Votre corps humain, entraîné dans les cieux par ces deux majestueuses ailes blanches, se joue des altitudes et des vents contraires, il gagne une allure incroyable et ne cesse de se gonfler d'énergie durant ce vol qui ne semble ne jamais pouvoir s'arrêter !
Toute cette vie avait été un rêve et voilà que vous vous êtes réveillé, que vous avez été ramené à la vie, le coma affreux a pris fin et rien sur la terre ni dans le ciel ne peut vous abattre, si ce n'est cette batterie anti-aérienne qui vous dégomme d'une salve à la précision chirurgicale. Vous vous écrasez brutalement en territoire ennemi et les soldats d'un ''empire dictatorial'' que vous avez eu le malheur de survoler ne vous laissent même pas le temps de vous relever ou de soigner vos ''ailes meurtries'' avant de vous passer les menottes ! Ils vous posent un tas de questions dans ''une langue que vous ne comprenez pas'' puis vous jettent dans le coffre d'une voiture. La retombée de vos actions est assez irréelle, et vous finissez de décuver au moment-même où le véhicule arrive à sa destination : un ''bunker'' ceint d'un périmètre de gardes, de tanks et de barbelés.
Cette fois-ci, vous n'allez pas vous en tirer par une pirouette ! Un soldat avec deux étoiles de plus que les autres sur son uniforme s'approche de vous et demande : "//Niposch, aktsahlavitch, iepok lemlen gilgam lorossa !//". Que répondez-vous ?
[[Vous hochez de la tête pour dire non->non]]
[[Vous hochez de la tête pour dire oui->oui]]Le temps et l'espace ne peuvent-ils plus avoir d'emprise sur vous ? Êtes-vous devenu cet être ''monolithique'' dépassant toute notion humaine d'existence ? L'imposteur de la vie, celui qui apportera ''l'Apocalypse'' des sens, c'est vous !
Allongé ainsi sur le rivage, ayant abandonné toute raison et usage de la raison, votre âme quitte cette terre et ce corps. Vous voilà l'invité d'un peuple raffiné ''d'extraterrestres'' dans un ''palais de cristal'' sur une lune. Ici, des oiseaux de neige se posent sur des fils de soie tissés dans les grands corridors et des muses aux teintes d'argent dansent et jouent de la flûte de Pan. Une ''harmonie stellaire'' règne dans ce royaume céleste. Le roi vous convoque un peu après l'heure de la prière au Dieu Soleil, pour ne pas l'interrompre de votre conversation. Voici ce qu'il vous demande :
"//Ô, messager des êtres impurs, tu as atteint notre niveau de conscience et tu t'es affranchi de ta condition de mortel. Nous sommes des êtres de paix, d'amour et de songes, notre pacifisme nous rend ainsi vulnérables. Un ''peuple barbare'' convoite nos terres : ce sont les ''Mettak'', une tribu de sauvages du côté obscur de cette lune. Toi qui verse dans l'ombre et dans la lumière, ta main peut répandre le sang : acceptes-tu d'''éliminer nos ennemis'' ?//"
[[Ce serait un grand honneur, mon roi->guerre]]
[[Pourrait-on envisager une autre issue ?->pasguerre]]Double-click this passage to edit it.Double-click this passage to edit it.Le barman ne prend pas avec humour cette question irrespectueuse et vous considère longuement, il devine que vous êtes un ''sans-papier'', un ''sans-ami'', et que votre mort n'aura sans doute aucune répercussion dans ce monde. Il vous punit donc pour votre insolence !
D'un regard noir, il vous foudroie sur place puis disperse vos cendres d'un geste de la main ! Cela vous apprendra à jouer au malin avec une entité millénaire cousine des ''Tyrannoeils'' ! Dans ces circonstances, il va vous être difficile de présenter vos excuses puisque vous n'êtes plus qu'un nuage de cendres emporté par le vent, et une ''résurrection'' semble assez peu probable. Votre ultime choix consiste donc à déterminer à quel endroit votre course s'arrêtera.
[[Dans le verre d'un client->verre]]
[[En face de la terrasse du bar->arbre]]Votre maître lit la seconde lettre et semble assez intéressé par ce club très privé. Il la range dans la poche intérieure de son manteau et s'en va. La journée passe, vous faites vos trucs de boîte à lettres, c'est-à-dire que vous ne faites rien à part rester immobile, plongé dans votre mutisme. La nuit tombe et vous découvrez avec horreur que ''vous ne pouvez pas dormir''. Ce châtiment risque d'être très déplaisant.
Rien ne se passe durant la nuit. Puis le jour se lève.
Temps de votre châtiment restant : ''119 jours''.
Le facteur vous remplit d'une lettre seulement, aujourd'hui. Une ''amie d'enfance'' de votre maître, qui souhaite reprendre contact avec lui après toutes ces années à s'être perdus de vue. Allez-vous manger cette lettre ou la garder dans votre poche ventrale en attendant la saisie ?
[[Manger la lettre->pasamie]]
[[Laisser la lettre->amie]]Votre maître lit la lettre concernant le fou en cavale et il en prend gravement note. Dans l'après-midi, le voilà qui installe des ''détecteurs de mouvement'' dans son jardin et des ''caméras'' à ses fenêtres ! Ce petit boost de sécurité n'est pas une mauvaise chose : vous avez entendu ce matin une conversation entre deux voisines sur de probables voleurs dans le quartier !
La nuit arrive et passe rapidement, vous restez aux aguets, malgré les défenses de votre maître, il ne faudrait pas qu'un ''voyou'' s'en joue et s'infiltre dans la maison ! Enfin, le soleil point à l'horizon et conclut cette ''garde haletante''.
Temps de votre châtiment restant : ''119 jours''.
Journée chargée : le facteur dépose en vous quatre lettres ! Deux sont des factures, vous n'y touchez pas, la troisième annonce la ''capture'' du malade mental par les autorités et la quatrième, écrite par un certain //Monsieur Cunningham//, ''docteur'' de profession, fait un rapport sur les radios de votre maître et elle dresse un bilan assez peu radieux sur son avenir : il n'aurait plus que quelques années à vivre avec cette satanée ''malformation'' !
[[Garder les deux lettres->garderlettres]]
[[Manger la troisième lettre et garder la quatrième->pascapture]]
[[Manger la quatrième lettre et garder la troisième->pasdocteur]]<img src="https://78.media.tumblr.com/d23403dc543f93cb40494daa1fa68f7b/tumblr_p06zxy82rO1vjd3qbo2_1280.jpg" width="500" height="300" alt="Two foxes">
Vous voici donc devant une ''maison bourgeoise de style britannique''. Au fur et à mesure que vous approchez du portail de la propriété, vous sentez en vous une envie de plus en plus grande qui se loge entre vos entrailles : c'est la ''faim'', la faim dévorante que seul un démon peut connaître. Vous aiguisez vos griffes et vous pensez au moment fatidique où vous ferez tomber les lambeaux de chair sur le parquet et vous en délecterez.
Un dilemme vous saisit juste avant votre assaut de la maison : serait-ce mieux de connaître un peu de résistance, ou bien de becqueter librement ces enfants ? Deux désirs entrent en conflit : celui de la ''traque haletante'' comme loi et du ''festin facile''. Si vous souhaitez faire en sorte que les occupants se barricadent et vous résistent, il vous suffira de hurler à la mort jusqu'à ce qu'ils se réveillent. Dans le cas contraire, vous pourrez entrer chez eux sans un bruit et les écorcher vifs dans leur lit.
[[Les avertir de votre présence->resistance]]
[[Profiter de l'élement de surprise->surprise]]Double-click this passage to edit it.Ceci est votre pierre tombale :
"Ci-gît Le Joueur
Mort de s'être coltiné trop de bactéries de pieds pour que cela soit bien raisonnable.
A sa demande, voici son épitaphe : La confusion ... Sera mon épitaphe ..."
J'espère que vous êtes satisfait. Je vous avais dit de ne pas y aller.
VOUS ÊTES MORT.Ceci est votre pierre tombale :
"Ci-gît Le Joueur
Mort de s'être coltiné trop de bactéries de pieds pour que cela soit bien raisonnable.
A sa demande, voici son épitaphe : J'ai aimé l'humanité, j'en fus le père, les pieds me tuèrent : la vie ne serait donc pas un passage piéton ?"
J'espère que vous êtes satisfait. Je vous avais dit de ne pas y aller.
VOUS ÊTES MORT.Votre maître vous ouvre et laisse s'échapper un soupir en voyant qu'il passera un jour de plus sans courrier, dans son isolement total, à la campagne.
"Ah, des lettres, de temps en temps, ça ne leur ferait pas de mal de m'en envoyer" rumine-t-il en s'en allant. "Rien qu'une carte postale, une carte de voeux, une seule pendant toutes ces années ! Ma famille ne voit vraiment qu'un bon à rien en moi ..."
Le soir, votre maître part en voiture et il rentre très tard et très ivre. Il vous dépasse en titubant et une carte tombe de la poche de son pantalon : c'est un ticket d'entrée périmé pour ''"Le Nuage Rose"''. La nuit n'est pas plus mouvementée que celle d'hier, quelques oiseaux nocturnes se posent sur vous et ''urinent'' contre votre poteau mais cela n'est que votre lot quotidien et vous devez apprendre à vivre avec, enfin, à ne pas incarner un être vivant avec. Le soleil se lève et apporte avec lui un peu d'activité dans le quartier.
Temps de votre châtiment restant : ''118 jours''.
Cette fois-ci, c'est un colis que le facteur dépose en vous. Il est plat mais très volumineux, vous le sondez : ce sont des ''plans pour la fabrication d'une bombe artisanale'' ! Votre maître serait-il secrètement un ''résistant'' ? Ou bien essaie-t-on de le piéger en lui envoyant des dossiers interdits qui seront retrouvés par la ''police d'état'' ? Votre coeur de boîte à lettres bat la chamade, comment allez-vous gérer cette situation ?
[[Manger le colis->pascolis]]
[[Laisser le colis->colis]]Double-click this passage to edit it.Double-click this passage to edit it.
Vous prenez le risque de garder le colis en vous. Votre maître vous ouvre, voit le ''cachet'' et rentre chez lui d'un pas pressé. Vous devinez à sa réaction qu'il sait ce que ce colis contient, et qu'il est donc bien dans le coup. Il complote donc contre son gouvernement et prépare un attentat ! Est-ce bien sage de laisser ses plans se dérouler à la perfection ? Ne faudrait-il pas enrayer la machine bien huilée pour le protéger, quitte à ruiner ses ''ambitions anarchistes'' ?
Un jour passe encore. Vous passez le temps creux à méditer sur vos futures décisions.
Temps de votre châtiment restant : ''117 jours''.
Le facteur apporte cette fois-ci un deuxième colis et une lettre. Vous feriez preuve d'une telle émotion en découvrant le contenu de ce colis si vous n'étiez pas un objet inanimé ! Car il s'agit d'un ''revolver soigneusement emballé, balles incluses'', la seule possession de cette arme pourrait envoyer votre maître sur la ''chaise électrique'' ou pire, dans une salle d'interrogatoire de la ''police secrète'' ! Quant à la lettre, c'est un message du gouvernement qui bannit la production de ''tracts révolutionnaires'' et les ''rassemblements et manifestations'' dans le pays entier ! La question est donc de savoir si vous allez faire parvenir à votre maître le revolver ...;
[[Manger le colis->pasrevolver]]
[[Laisser le colis->revolver]]Double-click this passage to edit it.Que votre destinée est perverse ! Votre réponse ne suffit pas à convaincre les soldats que vous n'êtes pas un ''espion'', et ils vous mènent de force à l'intérieur du bunker, où une ''cellule'' spécialement préparée pour vous vous attend dans la section des prisonniers de guerre ! Après leur pause café, les soldats reviennent vers vous et tapent sur les barreaux avec vos matraques, ils vous hurlent dessus des ordres qu'un gorille transgénique des iles Babouin ne pourrait pas comprendre non plus.
Cette nouvelle chambre propose un charme assez rustique, avec son matelas posé au sol, ses murs ternes et son lavabo souillé de pisse, de calcaire et de taches de ''dentifrice durci''. Les dictatures ne mettent décidément pas l'accent sur la propreté et la dignité humaine ! Indigné par ce traitement révoltant, vous boudez sur votre matelas. Un petit bruit parvient alors à vos oreilles : c'est un autre prisonnier qui essaie de vous parler à travers le mur du gauche ! Vous inspectez ce mur et vous découvrez qu'il s'y trouve en effet une petite faille pouvant porter le son d'une voix d'une cellule à l'autre !
Votre voisin vous dit : "//Asnaasnavach, kalaamush leksem nethnekee !//" Comment comptez-vous communiquer avec lui ?
[[Vous ne lui faites preuve d'aucun respect et vous vous endormez sans même lui répondre->norespect]]
[[Vous dessinez un résumé en BD de votre arrivée ici sur un papier et vous glissez ce papier dans la faille->dessin]]<img src="https://78.media.tumblr.com/5daa9786403e4db4a059b3cd3b210291/tumblr_p36pa5ZUyk1vjd3qbo2_1280.jpg" width="500" height="300" alt="Two foxes">
Cette réponse vous vaut de passer directement au ''peloton d'exécution'' ! Alors que les soldats pointent tous le canon de leur fusil vers vos parties génitales et que leur doigt appuie dangereusement sur la détente, une voix forte et lointaine leur crie quelque chose et ils baissent immédiatement leurs armes ! Vos liens sont défaits et on vous montre du doigt ''deux silhouettes obscures'' postées sur un toit que vous devriez sans doute rejoindre. Comment réagissez-vous ?
[[J'en profite pour prendre la fuite !->fuite]]
[[Je me dirige vers ces inconnus sur le toit->toit]]
Vous vous posez dans le verre d'un client comme s'il s'agissait d'un cendrier et il avale ce qu'il reste de vous d'une gorgée. Oh, ça alors ! Les vertus homéopathiques seraient-elles à l'oeuvre ? Infiltrer cette boison a concentré votre ''essence vitale'' en une goutte d'eau et cette goutte d'eau vous a permi d'entrer dans le corps du client et de vous ''réincarner'' en lui ! Sa volonté propre a désormais disparu, c'est véritablement une seconde naissance ! Pour fêter cela, vous offrez une tournée à tous les habitués du bar, aliens et monstres étranges, qui chantent votre nom et dansent sur les tables !
Mais le barman, suspicieux et rendu aigri par la ''cataracte'' que son regard foudroyant a provoqué, s'est rendu compte de votre petit manège et il s'apprête à vous atomiser !
[[Je fuis le bar en courant->courir]]
[[Je prends un miroir et je le braque contre lui->miroir]]
[[J'essaie de faire mon mea culpa->meaculpa]]<img src="https://78.media.tumblr.com/7c6d2e0f084c95f40d8a4e5b9d931d93/tumblr_os4e3s3iNt1vjd3qbo1_1280.jpg" width="500" height="400" alt="Two foxes">
Là où vos cendres se posent, un arbre pousse, deux-cent ans plus tard. Le bar a depuis longtemps disparu et il n'en reste qu'une ruine traversée par un ''ruisseau'' à l'eau limpide, habité de dizaines d'espèces de poissons bleus et rouges, violets et oranges, qui viennent s'abriter entre vos racines et profitent de l'ombre de votre feuillage.
Une vie nouvelle germe grâce à votre sacrifice. Tout autour de vous, une herbe parsemée de ''roses et d'oeillets'' oscille calmement sur le passage du vent, au loin, des enfants attrapent des papillons avec leur filet, de petites filles enlacent leurs mères et leurs cheveux blonds ondulent dans la fraîcheur de ce printemps. Criquets bruissent et vent souffle les feuilles, rien ne paraît devoir mourir en cet ''Eden''. Vos fruits arrivent à maturité, ils porteront cette vie qui vous habite ailleurs, en d'autres terres fertiles, et le cycle sera ainsi perpétué.
VOUS ÊTES VIVANT.Ce n'est pas la vigueur qui vous manque, mais, hélas, après un bon ''sprint de départ'', le rayon vous atteint une nouvelle fois et il vous change cette fois-ci en un ''bloc de charbon'' dont le barman pourra se servir pour chauffer ses appartements pendant un bon mois. Réjouissez-vous, car tout espoir n'est pas perdu, mon ami : grâce à la fumée engendrée, vous pourrez sans doute grappiller un cancer ou deux et causer encore un tout petit peu de mal en ce monde ! Ah, l'aventure moderne ... Dites-vous bien que c'est mieux que de devenir une bouteille à la mer et de finir dans le ''vortex d'un continent de plastique'' ! Dans tous les cas, les mots de la fin sont clairs et immémoriaux :
VOUS ÊTES MORT.L'usage du miroir est une ''retraite sûre'', il vous permet de conserver vos forces et de parer avec justesse les attaques de l'oeil ! Le barman, sachant très bien ce qui arrivera si son rayon est dévié, n'ose plus faire feu, la situation penche en votre faveur !
Le contraste entre la peur du barman et un instrument aussi léger en guise d'arme pousse les clients à croire que vous êtes doué d'un ''intense pouvoir de dissuasion'' et ils se voient comme des ''otages'' sous votre joug implacable. Personne n'a appelé les forces de l'ordre et on vous demande de toute part ce que vous voulez contre une conclusion sans effusion de sang : de l'argent ? Des femmes ? Une voiture ? Tout ce qui est en la possession des clients devient votre ''possibilité''.
[[Je ne veux rien, je ne suis pas là pour causer des ennuis !->rien]]
[[Je veux quarante-cinq mille billets de dix-mille francs en petites coupures. Et un verre d'eau->money]]
[[Je veux la peau à Lord Farquaad !->revanche]]
[[Je veux le bar et toutes ses dépendances !->bar]]
[[Je veux une caisse pour me casser de ce trou à rats !->caisse]]Votre mea culpa est accueilli épineusement par le barman, d'autant plus qu'aucune sincérité ne s'en dégage et que vous trébuchez sur chaque mot. Un client dans le fond rit, il doit se demander quelle ''pathologie débilitante'' vous parasite ou si tout cela est une farce. Mais les projecteurs ne semblent pas vouloir se détacher de vous et les applaudissements se font attendre, si ctte hypothèse s'avère correcte.
Les habitués vous collent une étiquette "''Gros bébé triste''" sur le front et vous lâche au bord d'une autoroute en plein milieu d'un désert en ne vous laissant rien qu'une gourde d'eau et une pancarte "''Gros bébé veut qu'on lui enfile sa couche sinon il va pleurer''" qu'il vous faudra brandir vigoureusement chaque fois qu'un véhicule apparaîtra à l'horizon.
Pendant une bonne heure, vous longez le macadam, bouffé par les moustiques, humilié par votre ''torse imberbe'' exposé à la vue d'à peu près personne et la ''tétine'' collée de force dans votre bouche, écrasé par la bouffée d'illumination de ce Soleil qui se presse contre le désert comme un vieux pervers copule avec une pucelle dans une chambre d'hôtel.
Vous préféreriez mourir subitement que de continuer à lutter dans ce cagnard. Fort heureusement, un conducteur finit par vous prendre en pitié : il gare son ''camion'' sur le côté et vous contemple de la tête aux pieds. C'est un ''redneck'' un peu abruti, pardonnez le pléonasme, en salopette et en veste de jeans, ce qui est une faute de goût impardonnable, ses chaussettes épaisses emprisonnées dans ses sandales empestent le gouda et sa moustache frisotte et prend des allures de crevette nettoyeuse lorsqu'il hume cette douce odeur de talc qui émane de vos fesses replètes. Il s'adresse à vous dans un jargon qui répandrait l'effroi chez les académiciens et les puristes de l'anglais.
"//Heyo ''bud'' ... Yo' a huge ole fella ... Where ye goin' ''bud'' ? Ya got a goodie bumhole, ya ? Ya jus' out fo' a slap on yo ass ''bud'' ?//"
Il vous propose d'être son petit passager clandestin et jure qu'il ne mentionnera à personne cette mésaventure si vous promettez de le laisser vous ''langer toute une nuit durant''. Cette proposition qui, je dois bien le dire, vous est faite d'une ''manière extraordinaire'', l'acceptez-vous ?
[[I dun' mind havin' that big stick o' yuss inbetween my bummiebumhole ...->bumbum]]
[[I think I'm going to pass on that offer->Nope]]Double-click this passage to edit it.Double-click this passage to edit it.Au moment-même où votre pied s'écarte de la position propice pour votre exécution, une ''migraine abominable'' anéantit vos tempes et jette votre pensée dans un tourbier sans fond. C'est comme si un sorcier sondait votre esprit sans votre consentement ... Vous sentez qu'on retourne vos méninges, qu'on grille vos neurones, qu'on fait de vous ce que vous n'êtes pas : vos joues s'empourprent, vos jambes se liquéfient, votre visage se décompose ...
Ceci est l'oeuvre d'un ''Psychomancer'' qui a deviné vos intentions et entrepris de vous faire disjoncter ! Et il a réussi son oeuvre ... Face contre neige, vos yeux roulant vers vos orbites, vous n'opposerez plus aucune résistance dans cet état. Au loin, le mystérieux Psychomancer qui vous a déréglé se frotte les mains, satisfait. Les soldats achèvent son travail et vous criblent de balles. Tel est le sort réservé à ceux qui s'arrogent de défier le ''glorieux empire des Névès'' !
VOUS ÊTES MORT.Double-click this passage to edit it.Votre hurlement de ''démon esthète'' inspirera de l'horreur dans le coeur de ces enfants, sans nul doute ! Il perce la nuit de ses aigus déchirants. Oh, ce son est le ''clairon de la victoire'', et les crimes glorieux qui vont suivre feront sensation chez vos compères ! Vous posez votre patte sur la première marche et une ''balle d'argent'' explose votre gueule de monstre. Vous voilà proprement démantibulé. Vous n'aurez même pas eu le temps de comprendre pourquoi et comment. Votre règne de terreur s'arrête ici.
VOUS ÊTES MORT.Double-click this passage to edit it.Double-click this passage to edit it.Double-click this passage to edit it.Double-click this passage to edit it.Double-click this passage to edit it.Double-click this passage to edit it.Double-click this passage to edit it.Double-click this passage to edit it.Double-click this passage to edit it.Double-click this passage to edit it.Double-click this passage to edit it.Double-click this passage to edit it.Double-click this passage to edit it.Double-click this passage to edit it.Double-click this passage to edit it.